A la trace des Roms, une vie de gitans en photo, traduction et présentation Raoudha Selmi
voilà, cela fait plus d'un mois que je suis totalement hantée par un rouge si profond et d'un vert sublime, il s'agit des ouvres du photographe danois joakim Eskildsen (né en 1971 à Copenhague) de la série Roma-journey.
Entre 2000 et 2006, joakim Eskildsen et l'écrivain Cia Rinne ont entrepris de voyager dans sept pays différents en vue d’obtenir un aperçu de la vie des Roms et les conditions auxquelles ils sont confrontés. Eten accord avec les différents pays parcourus, le corpus photographique estdivisé en sept séries, dont la séquence correspond à peu près à la chronologiedu voyage.
Lephotographe et l’écrivain ont passé un temps considérable parmi les personnesqu’ils voulaient photographier afin demieux les connaître.
Audébut ils ont réussi a passé prés de quatre mois chez Magda, une vieille Romehabitant au nord de la Hongrie.
Leursvoyages pour la Roumanie, l’Inde et la Finlande sont le fruit de leur réseau deconnaissances et de contacts personnel. Le voyage pour la Grèce et la Russieétait grâce à l’aide des organisations des droits de l'homme, et en ce qui concerne le voyage en France ila été effectué à travers les Centre de recherches tsiganes à Paris.
Cesvoyages n'étaient nullement méticuleusement planifiées, néanmoins ils ontpermis à oakim Eskildsen et Cia Rinne àtravers une multitude de coïncidences d'entrer en contact avec les Roms.
La communication avec les roms était directe dans la plupart des pays, chose qui n’était pas possible en Russie et en Inde, puis que les deux protagonistes ont du être accompagné et assisté.
Et c’est ainsi que joakim Eskildsen et l'écrivain Cia Rinne parlent de leur aventure « Nous nous sommes souvent demandé ce qui a déclenché notre intérêt pour les Roms , mais nous avons été incapables de fournir une réponse définitive, et encore moins exhaustive. Ce qui est certain,c'est qu'une fois nous avons commencé, nous étions, tout simplement, incapabled'arrêter de poursuivre le projet. Et plus nous avons découvert les Roms etappris à les connaître, plus notre intérêt pour eux devient grand. »
Lephotographe et l’écrivain ont passé un temps considérable parmi les personnesqu’ils voulaient photographier afin demieux les connaître.
Audébut ils ont réussi a passé prés de quatre mois chez Magda, une vieille Romehabitant au nord de la Hongrie.
Leursvoyages pour la Roumanie, l’Inde et la Finlande sont le fruit de leur réseau deconnaissances et de contacts personnel. Le voyage pour la Grèce et la Russieétait grâce à l’aide des organisations des droits de l'homme, et en ce qui concerne le voyage en France ila été effectué à travers les Centre de recherches tsiganes à Paris.
Cesvoyages n'étaient nullement méticuleusement planifiées, néanmoins ils ontpermis à oakim Eskildsen et Cia Rinne àtravers une multitude de coïncidences d'entrer en contact avec les Roms.
La communication avec les roms était directe dans la plupart des pays, chose qui n’était pas possible en Russie et en Inde, puis que les deux protagonistes ont du être accompagné et assisté.
Et c’est ainsi que joakim Eskildsen et l'écrivain Cia Rinne parlent de leur aventure « Nous nous sommes souvent demandé ce qui a déclenché notre intérêt pour les Roms , mais nous avons été incapables de fournir une réponse définitive, et encore moins exhaustive. Ce qui est certain,c'est qu'une fois nous avons commencé, nous étions, tout simplement, incapabled'arrêter de poursuivre le projet. Et plus nous avons découvert les Roms etappris à les connaître, plus notre intérêt pour eux devient grand. »
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